APPEL À DANSER

À l’occasion de l’exposition « Basquiat x Warhol, à quatre mains », la Fondation met la danse à l’honneur.

De 1984 à 1985, Jean-Michel Basquiat et Andy Warhol travaillent presque quotidiennement ensemble, leur conversation se poursuit au rythme électrique de la métropole new-yorkaise, ses musiques, ses fêtes, ses danses et leur œuvre commune a produit un impressionnant métissage de cultures et de signes.

Le vendredi 2 juin 2023, la Nocturne célèbrera la diversité des danses urbaines. Cet appel à projets chorégraphiques lancé par la Fondation, avec Marion Motin marraine de l'événement, propose aux danseurs amateurs ou professionnels de venir se produire in situ dans les espaces de la Fondation. Emparez-vous de la scène artistique du downtown new-yorkais des années 1980, réactivez, par la danse, le dialogue artistique entre Basquiat et Warhol !

Cet appel à projets chorégraphiques est ouvert à tous les danseurs de plus de 18 ans et à tout type de danses : hip-hop, krump, voguing, popping, breakdance, fusion, contemporaine etc. 

CONDITIONS DE PARTICIPATION

Les candidats devaient présenter une vidéo d’environ 1 minute d’une chorégraphie accompagnée d’une courte présentation écrite. Entre 4 et 6 lauréats vont être sélectionnés par un jury composé par des représentants du monde de la danse et de la Fondation. Les lauréats se produiront ensuite en public dans les espaces de la Fondation, lors de la Nocturne du vendredi 2 juin.

RÈGLEMENT

Pour consulter le règlement du concours, ses modalités de participation, son agenda et sa récompense, cliquez ici.

Marion Motin

Marion Motin est une danseuse et chorégraphe française de renommée internationale. Elle suit d’abord une formation de danse classique et contemporaine. Passionnée par la danse hip-hop dans laquelle elle va largement s’imposer, elle porte aujourd’hui une vision ouverte de la danse contemporaine, engagée avec des stars pop internationales (Madonna, Stromae, Jean-Paul Gaultier, etc.), ou dans le monde du hip-hop où elle renouvelle les formes et y défend la place des femmes.

© Géraldine Tatard