FLV Lab #4

Le FLV Lab convie chaque année les étudiants du Diplôme Supérieur d’Arts Appliqués Design graphique et narration multimédia du lycée Jacques Prévert de Boulogne-Billancourt à imaginer et construire des prototypes de projets numériques autour du bâtiment de Frank Gehry. Plusieurs projets de médiation numérique réalisés par des entreprises innovantes sont aussi présentés lors du FLV Lab.

Otto, conscience virtuelle de la FLV, a perdu sa mémoire ! Grâce à une application Unity disponible sur smartphone, les visiteurs participent à des mini jeux interactifs pour l'aider à retrouver ses souvenirs. Chaque casse-tête débloque l'accès à des informations sur la construction du bâtiment et retrace le processus créatif de Frank Gehry.

Ecoutez aux murs de galeries ! Dans cette expérience immersive audio augmentée, les commissaires et les artistes livrent les secrets des expositions passées. Le public est amené à scanner des cibles avec des tablettes pour déclencher les commentaires audio de cette installation immersive, à la fois sonore et visuelle.

Le parcours Vutilus invite le public à voyager à travers la Fondation à la manière d’un "rally stamp" japonais. Les visiteurs rassemblent des tampons inspirés des recherches architecturales de Frank Gehry sur un carnet de voyage. À la fin du parcours, une augmentation numérique donne vie à ce carnet de voyage en 3D.

Les parcours des visiteurs au sein des autres ateliers sont enregistrés sous forme de données numériques. Data FLVx restitue graphiquement ces données en temps réel au cours de la soirée, sous la forme d'un modèle 3D évolutif inspiré des voiles de verre de la Fondation.

Le public peut modifier l'apparence des projections et suivre l'évolution des données en temps réel grâce à des applications sur Ipad et par des mouvements de main grâce à un capteur leap motion.

Laboratoire d'idées, le FLV Lab est aussi un rendez-vous du public avec les entreprises innovantes qui sont invitées chaque année à présenter des projets conçus spécifiquement pour l'occasion, autour des enjeux de médiation culturelle.

Dans cet escape game, les joueurs sont des archéologues du futur et ont retrouvé l’oeuvre « Where the slaves lives » de Adrian Villar Rojas comme témoignage d’une civilisation passée. A la demande du Comité d’étude des Civilisations disparues, ils doivent l’analyser pour obtenir des données sur notre époque et la manière dont l’oeuvre fût créée. Le jeu se déroule sur un totem doté de trois trappes à débloquer pour obtenir des indices grâce à une tablette numérique.

Ce projet présente une approche olfactive inédite du bâtiment, grâce à des fragrances identifiées par une intelligence artificielle à partir d'une image de la Fondation.

Cette visite guidée des terrasses de la Fondation est narrée par les médiateurs dans le creux de l'oreille du public. Le système permet la rediffusion en direct de la visite directement sur le smartphone des visiteurs.